Ars Magica : Les Chroniques de Quintiber au Tribunal de Rome

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Messagepar simon » Mar Oct 26, 2010 10:51 pm

Comme promis voici un post pour raconter le déroulement de la campagne Ars Magica, n'hésitez pas à poster des commentaires pour donner votre avis, mais ils seront effacés à chaque nouveau post de ma part afin de ne pas "polluer" l'histoire.

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3 Mars 1218 - Durenmar

Quinze ans de retard, je n'ai pas eu le temps de commencer plus tôt ce journal tant mon temps a été occupé. Mon apprentissage auprès de Murion de Bonisagus touche à sa fin. Ces quinze années auront été éprouvantes, autant pour ma parens que pour moi-même, mais il aura été bénéfique pour nous deux. Grace à elle, je suis désormais en mesure de vouer ma vie à tenter de dépasser les limites de la magie. Notre illustre ancêtre aura réussi à unifier les mages grâce à sa théorie de la magie, mais je reste persuadé que certaines des limites qui nous frappent peuvent être contournées. Dès que j'aurais passé mon Gantelet, j'espère pouvoir poursuivre mes études ici même à Durenmar, enfin si j'ai le temps d'inventer un sortilège le froid qui me glace dans mes quartiers ; le charme de la Forêt Noire mais je m'en passerais. Murion m'appelle, je continuerais plus tard.

22 Juin 1218 - Durenmar

Et moi qui croyait que la fin de mon apprentissage serait plus calme. Jusqu'à l'arrivée de ce messager sicilien je n'ai pas eu une minute à moi. Murion m'a laissé en charge de surveiller son nouveau filius pendant qu'elle s'occupait des devoirs de sa charge de prima de la maison Bonisagus. La fête du solstice d'été hier a été l'occasion de grandes réjouissances tant pour notre alliance que personnellement. C'est hier soir que finissait ma quinzième année d'apprentissage et la nature de mon gantelet va m'être révélée prochainement. A mon avis dès que le conseil des mages provoqué par l'arrivée du messager sera terminé. En attendant je dois prévoir mon argumentation afin d'obtenir un laboratoire personnel et laver mes quartiers que j'ai délaissé depuis deux jours au moins.

24 Juin 1218 - Durenmar

Ca y est je connais la nature de mon gantelet et contrairement à ce que j’espérais ma tâche ne consistera pas à inventer un sort unique qui porterait mon nom, il faudra remettre cela à plus tard. L’arrivée du messager sicilien aura chamboulé toute mes prévisions. C’est un envoyé du baron Ingmar von Waldstaufen, un ancien compagnon de Durenmar ayant hérité par son père d’un morceau de terre au sud de la Sicile, une petite baronnie du nom de Balti. Cette terre est bordée par les duchés d’Agrigente et de Licata ainsi que le comté de Nato au nord. Le sol n’est parait-il pas fertile mais la route commerciale apporte des revenus conséquents au Baron. Ce dernier aurait lui semble t’il trouvé un ancien parchemin relatant d’un lieu mystique puissant. Cette découverte semble intéressante, enfin à priori puisqu’au final je suis le seul à m’y rendre pour étudier ce texte et en vérifier l’authenticité. Mon gantelet consiste donc à aller en Sicile et ramener le parchemin si sa véracité est avérée. Je n’ai plus qu’à me préparer, une toque rouge va me déposer à Rome dans trois jours.

27 Juin 1218 - Rome

Le voyage avec la toque rouge a été, disons déroutant. Je n’ai pas l’habitude de voir défiler le paysage si rapidement autour de moi, si je ne fixais pas l’horizon mon estomac se soulevait. Enfin deux jours pour traverser à pied les Alpes et le nord de l’Italie je ne peut pas me plaindre sur le transport. Flavius a même été un compagnon agréable et son expérience du voyage devrait m’être profitable pour le reste du trajet. Nous ne nous sommes pas arrêtés à Florence, mais l’arrivée à Rome à compensée largement cette légère frustration. Cette ville respire sa gloire passée, on peut en sentir les restes de sa glorieuse puissance. J’espère pouvoir prendre le temps de rendre hommage à Mercure mais ce sera pour une prochaine fois.

12 Juillet 1218 - Messine

La première partie du voyage s’est bien passée, je pensais écrire plus souvent pour décrire la mer mais finalement c’est toujours la même chose. J’ai bien fait d’emporter ce tractatus sur la nature essentielle, le voyage me semble moins long. Des retardataires pour les croisades sont parties ce matin en direction d’Acre, il semblerait que ceux sur place soient partis en direction de Damiette dont ils font le siège. Puisse le Très Grand protéger ses fidèles, certains croisés m’ont parus vraiment jeunes.

21 Juillet 1218 - Licata

Ces trois semaines et demie en mer m’ont semblées une éternité. Il n’y a pas à dire je préfère travailler dans un bon laboratoire que vivre des aventures, si on peut parler d’aventure quand on survit à une tempête. Je devrais atteindre Balti demain.

26 Juillet 1218 - Balti

L’accueil qui m’a été réservé par Ingmar est tout à fait chaleureux. Je ne l’avais que très peu côtoyé lorsqu’il dirigeait les vulgus de Durenmar au combat mais il est tout à fait charmant et cultivé, quoi de plus normal quand on vient de Durenmar. Je dois avouer que je prends plaisir à reparler allemand, l’italien ne ressemble pas tant que cela au latin et le sicilien est une vulgaire logorrhée, un mélange sans queue ni tête de toutes les langues que ces paysans ont pu entendre. Le parchemin est disons intéressant, je l’ai lu plus d’une douzaine de fois et si son sens général m’est limpide, de nombreux détails restent obscurs. Le texte a été écrit par un certain Phidias a destination de son parens Valérios. Ce dernier est me semble t’il un Criamon de Val Negra, j’aurais du écouter plus attentivement les cours dispensés sur l’histoire de l’Ordre.

9 Septembre 1218 - Balti

J’ai trouvé un fragment de cristal qui devait accompagner le parchemin. D’après ce que j’ai pu saisir, ce cristal devrait me permettre de trouver un site doté d’une puissante magie, bien que les élucubrations de Phidias semblent indiquer que son équilibre intellectuel a été perturbé par son séjour là-bas. A moins qu’il ne s’agisse seulement des délires d’un Criamon, cela ne m’étonnerait qu’à moitié. Je ne pense pas apprendre grand-chose de plus en restant ici et je ne suis certainement pas assez fou pour me risquer seul sur ce site. Murion saura ce qu’il faut en faire.

2 Février 1219 - Giuseppe

Satanée neige. Je n’ai que rarement pris plaisir à la voir tomber mais lorsqu’elle m’a bloquée dans un col à la fin du mois de Novembre, un autre qu’un mage serait mort à coup sûr. J’ai ajusté un abri de fortune et jeté au vent une demande de secours, en espérant qu’elle traverse les montagnes. Il y a trois jours des mages de Giuseppe m’ont secouru. J’ai envoyé un message à Durenmar pour les prévenir de mon retard, je vais rester une saison ici pour rembourser ma dette.

3 Février 1219 - Giuseppe

Je suis officiellement mage. Murion est venue immédiatement pour me signifier la réussite de mon gantelet. J’avoue que je m’imaginais triomphant devant le tribunal du Rhin pas tout juste secouru dans une alliance des Alpes. Je lui ai remis le parchemin et le cristal.

20 Juin 1219 - Durenmar

Bien tôt un an que j’étais parti, cela me fait vraiment plaisir de revenir à ce que je considère depuis 17 ans comme mon foyer. Murion m’a annoncée en personne une nouvelle qui me laisse mi figue, mi raisin. Durenmar ne me construira pas de laboratoire, considérant qu’il ya déjà bien assez de mage ici. Par contre je suis invité à fonder une alliance sur le site de Sicile, s’il existe réellement, Durenmar pourvoyant à mon installation. Il va falloir trouver les mages susceptibles de m’accompagner là-bas.

15 Décembre 1219 - Durenmar

Ca y est, tout est prêt, j’ai finalement trouvé ceux qui m’accompagneront. Six jeunes mages vont passer leur gantelet lors de l’équinoxe de printemps et ils ont acceptés de venir avec moi. Je ne suis pas sûr de m’entendre avec tous tant nous sommes différents, mais il va falloir essayer si nous voulons fonder une alliance qui deviendra puissante.

22 Mars 1220 - Durenmar

J’ai eu confirmation que les six mages ont passés leur gantelet, certains plus facilement que d’autres. Le jour du départ est donc arrivé. Mes adieux à Murion ont été difficiles mais je sais que je reviendrais la voir, au moins dans 16 ans pour le Grand Tribunal. Il me faut désormais passer chercher mes compagnons de route. Melanchtone, le Magister in Artibus de l’alliance m’accompagnera dans ce périple, ainsi que plusieurs serviteurs qui transportent tout l’équipement qui m’a été offert pour mon installation.

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19 Avril 1220 - Rome

Nous sommes enfin au complet, mes futurs compagnons sont aussi étranges et diversifiés que je me l’étais imaginé. J’ai récupéré trois mages dans le tribunal des Alpes. Le Bjornaer se fait accompagner d’un compagnon qui sent autant l’animal que lui-même, cela ne m’étonnerais pas qu’il s’agisse d’un change forme également. La Merinita, Ephria, semble être une femme potentiellement agréable aux charmes certains, elle est seule mais nous allons profiter d’un de ses amis pour nous emmener en Sicile par bateau. Dante, le Tytalus est comme on me l’avait dis, sombre et mystérieux. Je n’ai pas réussi à savoir exactement ce qu’il avait fait de si grave pour avoir cette réputation, j’espère pouvoir lui demander prochainement. Il est accompagné d’une personne à qui je ne tournerais pas le dos volontairement. A Rome nous avons rejoint les trois autres. Tout d’abord Tadzio, un Jerbiton de la petite noblesse italienne, il me semble être quelqu’un de distingué, j’aurais plaisir à discuter avec lui. Il est accompagné d’une personne mystérieuse et discrète avec qui je n’ai pas eu le plaisir de discuter pour le moment. Octavius, ensuite, est un Tremere comme je me l’imaginais. Il est toujours à chercher le conflit et bien que son parens ne m’en ai dit que du mal je le sens compétent. Il est accompagné de ce qui me semble être un soldat, il est peut être plus que cela mais je n’ai pas encore pu le déterminer. Le dernier membre de notre groupe est une frêle jeune femme du nom d’Allissandre, une Verditius originaire des plaines slaves. Elle a moins de charme qu’Ephria mais elle sera sûrement d’une agréable compagnie à l’alliance, heureusement car nous allons passer beaucoup de temps à l’alliance tous les deux. Le plus notable chez elle, c’est le monstre qui l’accompagne. Un géant répondant au doux nom d’Ogareff, il mesure environ huit pieds de haut et à la peau aussi grise que la robe de son destrier. Ce dernier est proportionné pour transporter son cavalier, ce qui en fait le cheval le plus imposant qu’il m’est été donné de rencontrer. Le capitaine du navire qui va nous transporter semble être d’agréable compagnie. S’il n’y a pas de tempête le voyage va être plaisant.

11 Mai 1220 - Messine

Il y a eu une tempête mais le navire a remarquablement tenu le coup, le capitaine dirige ses hommes d’une main experte et je n’ai pas été malade. J’ai expliqué les tenants et les aboutissants de notre voyage à mes compagnons, ils semblent tous impatients de partir à l’aventure. Je me revois il y a deux ans, impatient de découvrir le monde, je ne pensais pas en être si rapidement lassé sans être allé bien loin. Nos deux hommes oiseaux nous ont permis d’éviter les autres vaisseaux que nous croisions et nous n’avons pas été dérangés. Les marins sont fortement gênés par la présence de la plupart d’entre nous. Heureusement que le Don de velours est fortement présent dans notre groupe, nous n’attirons finalement pas trop de suspicions.

17 Juin 1220 - Balti

Nous sommes arrivés il y a trois jours à Licata et c’est à la tête d’une caravane de dix chariots transportant notre matériel que nous avons rejoint Balti. J’ai retrouvé le Baron avec plaisir tant mon séjour avait été agréable. J’ai l’impression qu’il a prix du poids. Mon bain est prêt je vais m’y rendre de ce pas.

18 Juin 1220 - Balti

Deux éclaireurs sont partis observer la nuit dernière le site sur lequel nous comptons nous installer et celui-ci est occupé par une vingtaine de mercenaires qui attaquent les caravanes en provenance d’Agrigente. Le Baron Ingmar souhaiterait que nous les fassions prisonnier afin qu’ils soient jugés ce qui renforcerait son influence sur ses sujets. Nous partirons donc cette nuit, je vais en profiter pour dormir un peu.

19 Juin 1220 – Site de la future alliance

Toutes les précautions que nous avons prises pour pallier à toute éventualité et capturer les mercenaires auront finalement été inutiles. Je savais que ce sortilège de sommeil me serait utile pour autre chose que pénétrer dans la bibliothèque de Durenmar au mépris de la surveillance du bibliothécaire. En quelques secondes, tout à été joué et aucun combat n’a eu lieu. Nos soldats sont repartis avec les prisonniers en direction de Balti et nous allons désormais pouvoir explorer ce site.

20 Juin 1220 – Site de la future alliance

Le cristal nous a guidé jusqu’à deux statues de chimères en parfait état malgré leur âge probable. Elles gardent l’accès d’un pont qui nous a mené à une île qui semble avoir été dégagé de la côte par magie car le dessins des falaises semble s’emboiter parfaitement. L’île sur laquelle nous nous situons à l’air accessible uniquement par le pont que nous avons emprunté, et avec la protection qui repousse tous les visiteurs potentiels nous devrions être très tranquilles ici. L’île fait environ 400 mètres de long pour 200 de large. Nous avons découvert quatre petits bâtiments en ruine, probablement d’anciennes maisons de serviteurs, ainsi qu’un palais dont l’étage s’est effondré mais qui semble bien conservé tout de même. A l’intérieur nous avons découvert le corps de Phidias qui semble s’être immolé par le feu. Il va falloir réparer les dégâts causés par le temps avant de pouvoir nous installer dans ce bâtiment. A l’extrémité sud de l’île nous avons découvert une petite crypte dans laquelle brûle en permanence une flamme bleue qui produit du virtus Perdo, c’est une aubaine. Mais comme un bonheur n’arrive jamais seul, il y a au centre de l’île une fontaine enchantée dont l’eau semble avoir des propriétés curatives mais qui représente également trois sources de virtus à elle toute seule. Au nord, il y a un temple circulaire de style grec avec une statue tenant un sablier. A la tombée de la nuit la statue a retournée le sablier et nous avons ressenti un puissant afflux magique. Il s’agit probablement de l’origine de la protection de l’île. A l’ouest enfin, il y a encore deux statues de chimères qui protègent l’accès d’un pont. Il y a une inscription qu’aucun de nous n’a pus traduire pour le moment. Lorsque nous avons essayé de nous aventurer sur le pont, nous avons été éjectés en arrière. Il y a sûrement quelque chose à faire pour pouvoir atteindre le regio qui semble se cacher derrière le pont. Je suis impatient de pouvoir commencer l’installation de mon laboratoire.
Dernière édition par simon le Mer Oct 27, 2010 10:59 pm, édité 1 fois.

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Messagepar simon » Mer Déc 15, 2010 10:34 pm

21 Juin 1220
Cette journée fut éprouvante pour nous tous mais nous avons pu établir les bases de notre alliance. La charte a été votée entre nous et nous avons choisi un nom qui je l'espère nous portera bonheur (Les Héritiers de la Chimère). Rien de vraiment extraordinaire n'a été décidé, nous devons juste passer une partie significative de notre temps à renforcer l'alliance. Rien que du plus classique mais cela n'a pas été facile de convaincre tout le monde, les débats ont été âpres. Nos stocks de virtus ne sont pas suffisants pour nous permettre de protéger l'alliance d'un Aegis, espérons que les protections passives du site suffisent à repousser les éventuels intrus.
Dès demain certains d'entre nous vont partir mettre à profit leurs compétences pour permettre à l'alliance de bénéficier d'un revenu substantiel ou tout du moins des ressources utilisables. je soupçonne certains de nos compagnons d'en retirer un quelconque profit personnel, mais après tout c'est de bonne guerre et moi aussi j'aime à travailler dans mon laboratoire, c'est donc un peu pour moi également que je travaille.

23 Juin 1220

Notre Magister in Artibus nous a traduit le texte de la statue du deuxième pont, celle avec une vasque pour semble t'il recueillir un quelconque liquide. Il est écrit : "Seul le sang le plus pur permet le passage" ou quelque chose de cet accabit. Certains d'entre nous ont tenté un don de leur sang, autant pour essayer que pour se mettre en avant si la pureté de leur sang permettait à notre communauté d'atteindre le niveau suivant. Malheureusement, même si pour certains d'entre nous les yeux de la statue se sont éclairés, il n'y a eu aucun effet notable.

17 Août 1220

Certains des mages sont revenus de leurs voyages, je ne suis pas certain que tout est été très fructueux mais mes travaux m'empêchent de m'intéresser plus avant à leurs périgrinations. J'attendrais le retour de tous pour provoquer un conseil des mages. L'étude du virtus que j'ai entreprise ne m'apportera pas forcément grand chose à court terme à moins que mon intuition ne soit la bonne et que le Corpus soit déterminant dans la "pureté du sang" dont parle le texte de la statue du pont.

20 Septembre 1220

L'étude du virtus Corpus m'a permit d'approfondir considérablement des connaissances très limitées de cette Forme mais cela n'a pas eu l'effet escompté. Tout du moins pas complètement. Il m'a semblé que les yeux de la statue s'étaient plus illuminés que la première fois mais cela ne m'a pas ouvert le passage. J'ai tout de même réussit à convaincre certains de mes compagnons de lier leur sang au moins au cas où ce soit une quelconque quantité de "pureté du sang", plus une masse qu'une qualité qui active les statues. Les yeux de la chimère ont bien plus brillés cette fois ci, il va nous falloir poursuivre dans cette voie. Nous allons provoquer un conseil des mages demain, j'espère que quelque chose de bon en ressortira.
Dernière édition par simon le Dim Déc 19, 2010 7:54 pm, édité 1 fois.

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